About
Maya Palma est née à Tokyo en 1985. Diplômée de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, de L'ENSAAMA et de l'école Boulle, elle vit à Paris. En tant que graphiste elle réalise des livres, catalogues, revues, logos, site internet, identités visuelles, plus particulièrement dans le monde des arts et de la littérature. Maya Palma a été membre fondatrice de la revue Mercure et la créatrice graphique de la revue Edwarda pour ses 5 premiers numéros. Elle crée également, des photos, vidéos, sculptures et dessins.
Maya Palma was born in Tokyo in 1985. She graduated from Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, the ENSAAMA and Ecole Boulle. She lives in Paris. As a Graphic designer she creates books, catalogues, magazines, logos, websites, visual identities, mainly in the world of art and literature. She is one of the founding members of the review Mercure and graphic creator of the review Edwarda. She also creates books, photos, videos, sculptures and drawings.
La presse à propos de ses créations :
Aux éditions de l’Olivier qui fêtent cette année leur trente ans, le gâteau d’anniversaire a pris la forme d’une magnifique collection de poche à l’allure fraiche, vive et colorée. La Bibliothèque de l’Olivier doit une partie de son succès à Maya Palma, «une jeune graphiste formidable», découverte par Olivier Cohen. «Alors que les directeurs artistiques lisent rarement les livres, elle les lit tous, et c’est fondamental» analyse Cohen. «Pour illustrer les vitamines du bonheur, recueil le plus connu de Raymond Carver, elle a choisi de mettre en avant le paon qui apparaît dans une des nouvelles, allant à l’encontre de la réputation minimaliste de l’écrivain américain. C’est tellement réussi que sa veuve a demandé à tous les éditeurs étrangers de la reprendre!» souligne Cohen.
Elle Clémentine Goldszal
« Coup de foudre. c’est si beau une belle revue. si doux de poser ses doigts sur un épais papier couché, de voluptueuses photos, tenir entre ses mains un objet imprimé aux textes ambitieux hors du speed de l’actualité déprimante. »
Le Monde magazine Didier Pourquery
« Edwarda est splendide et bimestrielle. Edwarda est une revue érotique d'un type nouveau. »
Mouvement David Sanson
« Dessiner l'invisible est un parcours dense et vaste. »
France Culture Hélène Delye
« Edwarda est belle, c’est sans doute, même, la plus belle des revues qu’on ait tenue entre nos mains depuis bien longtemps. »
Modzik Mathilde Janin
« On a envie de collectionner ces beaux objets. »
Inrockuptibles Hugo Lindenberg
Contact
palma.maya@gmail.com